« Je dois attraper le fil de la sensibilité,
interpréter la poésie de chacune. »
Dit Fanny pour résumer le besoin de tisser avec ses clientes. Tout du dessin à la finition, est réalisé dans l’atelier à plusieurs, avec mes collaboratrices et avec l’aide de brodeur, plisseur, plumassier, parurier…
Et si Fanny Liautard pare la plupart du temps de jeune femme heureuses sur le point de se marier, elle déclare avec un aplomb tout en douceur qu’il n’y a pas besoin de convoler pour porter une jolie robe.
La nostalgie peut-être, d’une époque plus festive ou grandes soirées, bals et fêtes se faisaient moins rares ?
(Extrait du très beau livre des Grands Ateliers de France par Catherine Laulhere-Vigneau.)
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